Don’t let the Great Lakes become the next Great Garbage Patch (Français inclus)
You may have seen in the news recently that a man has set out on a six month journey to swim across the Pacific Ocean. He will be swimming through what is known as the Great Pacific Garbage Patch, an area of accumulated waste three times the size of France, to bring attention to the mass amounts of plastic waste polluting our oceans. This issue has been getting more media attention lately, but it’s nothing new. Just this year, a sperm whale was found dead after swallowing over sixty pounds of plastic waste. Now that we are witnessing the consequences of plastic pollution in ocean waters, Canadians want to know how the problem can be solved. World leaders at the recent G7 meeting discussed ways to improve the health of the world’s oceans, but our government has not made real progress on this issue.
One way individuals can make a difference is by limiting our consumption of single use plastics, such as straws, bags, and bottles. Many people already bring reusable bags to do their shopping and carry a reusable water bottle with them, but there are more steps you can take. If you’re eating at a restaurant, remember to ask your waiter for drinks without plastic straws, and if you can, take your coffee without a lid. But the effects of individual choices are lessened when governments don’t take action. The city of Vancouver recently passed a resolution banning plastic straws in that city, the government might consider actions like this at the federal level, keeping in mind the needs of people with disabilities who rely on these straws.
It may seem like a lot of work at first, but the consequences if we continue on the current path are alarming. Scientists have predicted by the year 2050, there will be more plastic floating in the oceans than fish that swim in it. This will threaten fishing and other industries that depend on healthy oceans for their economic livelihoods. The good news is we can act now to prevent that prediction from coming true, and to protect the Canadian industries that rely on our aquatic system.
Closer to home, plastic pollution is also one of the important problems affecting the Great Lakes aquatic system, though it has received less attention. Just as the oceans are important to Canada’s coastal regions, the Great Lakes are vital to Ontario’s economy. They support commercial fisheries, tourism jobs, and a full quarter of Canada’s population relies on healthy Great Lakes for their drinking water. This illustrates that regulating plastics to reduce the amount of pollution in our waterways is good for everyone.
In the last parliament, an NDP motion brought about a ban on microbeads in commercial products, and now it’s time to turn our attention to mitigating the effects of other plastics to protect our waterways. Without action, we can assume we’ll see more and more garbage in our aquatic systems like the Great Pacific Garbage Patch.
If you want to show your support, you can sign a petition calling for plastic-free oceans by creating clean-up projects, reducing use of ‘single use’ plastics, and educating Canadians on the environmental impacts of plastic pollution. You can add your name by visiting: www.ndp.ca/oceans-plastic
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Ne laissons pas les Grands Lacs devenir le prochain vortex de déchets!
Récemment, vous avez peut-être vu dans les nouvelles qu’un homme a entrepris un périple de six mois pour traverser l’océan Pacifique à la nage. Il nagera à travers ce qu’on appelle le Grand Vortex de déchets du Pacifique, une zone trois fois plus grande que la France où se sont accumulés des déchets, afin d’attirer l’attention sur les quantités gigantesques de déchets de plastique qui polluent nos océans. Les médias ont davantage parlé de cette question récemment, mais ce n’est rien de nouveau. Cette année, une baleine a été trouvé mort après avoir avalé plus de soixante livres de déchets de plastique. Maintenant que nous observons les conséquences de la pollution par le plastique dans les eaux océaniques, les Canadiens veulent savoir comment le problème peut être réglé. Lors de la réunion des pays du G7 qui a eu lieu récemment, les dirigeants mondiaux ont discuté de solutions pour améliorer la santé des océans du monde, mais notre gouvernement n’a pas accompli de réel progrès dans ce dossier.
Il est possible de faire une différente en limitant notre consommation de plastiques à usage unique (comme les pailles, les sacs et les bouteilles). De nombreuses personnes apportent déjà des sacs réutilisables lorsqu’elles font leurs emplettes et transportent une bouteille d’eau réutilisable avec elles, mais il y a d’autres mesures que vous pouvez prendre. Lorsque vous mangez au restaurant, demandez au serveur de ne pas mettre de paille dans votre boisson et, si possible, de ne pas mettre de couvercle sur votre café. Les effets des choix individuels sont toutefois moindres lorsque les gouvernements n’emboîtent pas le pas. La ville de Vancouver a récemment adopté une résolution interdisant les pailles de plastique sur son territoire. Le gouvernement pourrait adopter des mesures semblables au niveau fédéral, en n’oubliant toutefois pas les personnes handicapées qui ont besoin de ces pailles.
Tout cela peut sembler beaucoup de travail de prime abord, mais les conséquences seront alarmantes si nous poursuivons sur la voie actuelle. Des scientifiques prédisent que d’ici 2050, il y aura davantage de débris de plastique que de poissons dans les océans, ce qui menacera l’industrie de la pêche et d’autres industries qui ont besoin d’océans en santé pour pouvoir prospérer économiquement. La bonne nouvelle : nous pouvons agir dès maintenant pour éviter que ces prédictions ne se concrétisent et pour protéger les industries canadiennes qui reposent sur notre système aquatique.
Plus près de chez nous, la pollution par le plastique est également un des problèmes importants qui touchent le système aquatique des Grands Lacs, mais cette question a reçu peu d’attention. Tout comme les océans sont importants pour les régions côtières du Canada, les Grands Lacs revêtent une importance capitale pour l’économie de l’Ontario. Ils soutiennent les pêches commerciales et les emplois dans le secteur du tourisme. De plus, le quart de la population canadienne compte sur des Grands Lacs en santé pour son approvisionnement en eau potable. Cela montre que la réglementation des plastiques, dans le but de réduire la pollution de nos cours d’eau, est bénéfique pour tout le monde.
Lors de la dernière législature, une motion du NPD a mené à l’interdiction des microbilles dans les produits commerciaux. Il est maintenant temps de nous pencher sur l’atténuation des effets d’autres plastiques pour protéger nos cours d’eau. Si nous ne faisons rien, nous pouvons nous imaginer qu’il y aura de plus en plus de déchets dans nos systèmes aquatiques, comme le Grand Vortex de déchets du Pacifique.
Pour montrer votre soutien, vous pouvez signer une pétition pour des océans exempts de plastique grâce à la création de projets de nettoyage, à la réduction de l’utilisation de plastiques « à usage unique » et à l’éducation des Canadiens sur les répercussions environnementales de la pollution par le plastique. Vous pouvez ajouter votre nom à la pétition en visitant le lien suivant : http://www.npd.ca/gardez-les-plastique-hors-de-nos-eaux